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Investissez dans le changement social

Investissez dans le changement social

Investissez dans le changement social : faites un don à La Louvière aussi

34 millions d’euros par an. Tel est le montant que les partis de ce gouvernement de droite, champion de l’austérité, reçoivent de nos impôts. Et la N-VA, à elle seule, engrange un tiers de ce montant chaque année. Pour se payer des grosses limousines avec chauffeur qui les déposent devant l’entrée de restaurants de luxe.

Pour lutter contre les partis traditionnels – et les multinationales assoiffées de profit qu’ils défendent –, nous avons besoin non seulement de l’engagement, mais aussi du soutien financier des travailleurs.

34 millions d’euros par an. Tel est le montant que les partis de ce gouvernement de droite, champion de l’austérité, reçoivent de nos impôts. Et la N-VA, à elle seule, engrange un tiers de ce montant chaque année. Pour se payer des grosses limousines avec chauffeur qui les déposent devant l’entrée de restaurants de luxe.

Les champions du crowdfunding politique

Le PTB, lui, ne reçoit pas de dotation faramineuse. Près de deux tiers de nos rentrées proviennent des cotisations et de dons et nous en sommes fiers. Nous sommes les pionniers du crowdfunding politique, en Belgique : en deux ans, nous avons reçu plus de dons que tous les autres partis réunis ces 15 dernières années. Des dons que nous utilisons pour imprimer les enquêtes avec lesquelles nous demandons l’avis des gens, le matériel que nous allons développer ces deux prochaines années pour les campagnes électorales, notre service d’études qui démasque les profiteurs qui planquent leur argent dans les paradis fiscaux, les vidéos de Raoul qui nous ouvrent les portes et les fenêtres du Parlement... Seul votre soutien nous permet de continuer à faire tout cela.

 

 

En tant que président du parti, Peter Mertens n’a nul besoin de 10 000 euros par mois, mais il se débrouille avec le même revenu que Sara, l’institutrice qui a rejoint le parti la semaine dernière. Raoul et Marco, qui, depuis la tribune du Parlement, taclent quotidiennement les ministres de droite, ne touchent qu’un salaire moyen d’ouvrier. Chaque mois, sans exception, ils versent le reste de leurs confortables rémunérations parlementaires au parti pour lequel ils s’engagent. Et, avec leurs cotisations, Pierre, Iman et Jenny participent eux aussi à l’effort collectif.

Au PTB, nous réunissons toutes ces personnes. Nous construisons un véritable parti de gauche, où personne ne s’enrichit au détriment de la collectivité et où tous les regards sont tournés en direction de la solidarité. Voilà dans quoi nous investissons. Et nous le faisons avec des gens qui s’engagent par conviction, par enthousiasme, par solidarité.

Le PTB est fier de s’engager à leurs côtés. Des gens comme Els, qui a deux enfants et qui travaille dans les soins. Elle a choisi ce travail parce qu’elle veut aider les gens, et non pour accumuler de l’argent sur son compte en banque. Des gens comme Rachid, aussi. Pendant la semaine, il est chauffeur de bus mais, le week-end, il donne un coup de main à la maison de jeunes tout près de chez lui. Cela ne lui rapporte pas un centime, mais c’est quelque chose qu’il aime. Des gens comme Marc qui est pensionné depuis six ans et qui ne reste pas sans rien faire. Chaque mois, il prévoit une petite excursion pour tous les pensionnés de son quartier. Pas un cheveu de son crâne presque dégarni ne penserait à demander une rémunération pour cela.

Jamais nous ne pourrons collecter autant de millions que n’en touchent tous les autres partis mais, même avec moins, nous pouvons faire la différence.

Avec 5 euros, nous pouvons déjà inviter des milliers de personnes à remplir notre #GrandeEnquête sur les médias sociaux.

• Grâce à une campagne de promotion de 50 euros, plus de 400 personnes se sont inscrites via notre site afin d’engager leurs talents et capacités en faveur du changement social.

• Avec 100 euros, via les médias sociaux, nous pouvons montrer à 100 000 personnes une vidéo de Peter Mertens sur la taxe des millionnaires.

• Avec 500 euros, nous pouvons distribuer 50 000 tracts dans lesquels nous expliquons ce que va entrainer la réforme des pensions pour chacun d’entre nous. La moindre petite somme peut aider et, quel qu’en soit le montant, elle est la bienvenue pour construire une alternative.